Planète verte, contacte avec Aïssalt.

À la demande d’une entité que j’ai vue sur une autre planète, je dois vous raconter le voyage astral que j’ai fait à 3h00 de matin dans la nuit de vendredi à samedi 24 mars 2018.

Depuis ce voyage cette entité que je nommerais plus bas, ne cesse de me parler.

Dans la nuit du 24 mars donc je me suis rendu sur une planète que je connaissais déjà, bien que chaque visite soit toujours un renouveau pour moi. L’endroit où je suis arrivé était une plaine couverte d’herbes denses, hautes d’une vingtaine de centimètre, de couleur vert fluo ; par leur aspect ces herbes me faisaient penser aux feuilles de yucca. La couleur vive de la végétation contrastait avec le peu de luminosité qui régnait sur cette planète ; une luminosité semblable à la lumière que nous pouvons observer sur notre planète juste avant le crépuscule. Leur étoile est d’ailleurs semblable à notre soleil lorsqu’il se couche, il est très orangé.

En une fraction de seconde je me suis retrouvé près d’un complexe d’habitations. C’était magnifique. Tout ce que je voyais, tout ce qui m’entourait était fait d’un matériau qui me faisait penser à du verre opaque ou un métal poli reflétant des diverses couleurs mouvantes. Je voyais des petites pyramides à trois côtés, de cinquante centimètres de haut pour certaines, d’un mètre ou de deux mètres pour d’autres, les plus grandes devaient faire une dizaine de mètre de haut. Certaines étaient droites, d’autres penchées. Elles étaient emboitées les unes dans les autres, sans fenêtre ni porte apparentes. Sur ma droite se trouvait une pyramide qui ne dépassait pas un mètre de haut et portait au sommet de sa pointe un plateau circulaire d’environ un mètre de diamètre sur une dizaine de centimètres d’épaisseur ; ce plateau était de même composition que tout le reste. Sur ce plateau se trouvait plusieurs petites pyramides posées sans ordre précis apparent, séparées les unes des autres.

Un être est venu vers moi, il ressemblait à ce que l’on appelle un « petit gris », mais à la différence qu’il mesurait plus de deux mètres. Il m’a observé en hochant la tête de droite à gauche, puis il a changé de forme. Il se présenta sous la forme d’un spartiate, comme nous pouvons les voir dans les films. Il a touché ce qui devait être mon épaule, car je n’étais plus moi-même dans un corps de chair, mais d’énergie. Il s’est à nouveau transformé après un bref instant pour prendre mon apparence. J’avais l’impression de voir mon clone. Puis, ce corps s’est effacé pour redevenir lui-même, un être d’énergie.

En se transformant à trois reprises, il me montrait l’évolution de son espèce et en même temps la création de la nôtre. Car dans un temps que je ne connais pas, nous saurons maitriser et contrôler nos cellules et nos molécules.Nous sommes vraiment entrés en unité, en communication tous les deux lorsque nous étions de même nature.

C’est à ce moment-là qu’il a commencé à m’expliquer l’évolution que son espèce a vécue, il y a plusieurs centaines de milliers d’années. Il est remonté dans le temps, à l’époque où son espèce était semblable à la nôtre. Ils se nourrissaient de viande, de végétaux, tout comme nous. Aujourd’hui, ils se nourrissent d’énergies, de végétaux, de poissons, suivant les convictions que chacun. J’ai pu ressentir une présence abondante d’oiseaux et de poissons, et très peu d’animaux terrestres. Les oiseaux avaient sur les habitants de la planète un pouvoir ; ils leur apportaient sérénité et développaient leur sens du beau. Je pourrais presque dire qu’ils les vénéraient. Ces oiseaux étaient magnifiques, je les voyais à travers l’esprit d’Aïssalt. C’était de très beaux oiseaux, très effilés, avec de très grandes ailes pointues et une longue queue très effilée elle aussi. Ils avaient de magnifiques couleurs ; des couleurs semblables à celles que je voyais se refléter sur les pyramides, des couleurs très vives, très électriques. Par cette vision que me montrait Aïssalt, j’étais moi-même fasciné par ses volatiles. En même temps que je voyais ces oiseaux, Aïssalt me montrait les poissons. Ceux-ci me faisaient penser aux oiseaux. Ils étaient très allongés, les nageoires pectorales étaient très longues et très puissantes, des poissons taillés pour la vitesse. Ils avaient de grandes écailles de mêmes couleurs que les oiseaux et les pyramides, des couleurs très vives et électriques, composées de bleu, de violet, de jaune, de vert et de rouge. En y repensant, je m’étonnais un peu de la luminosité de ces couleurs, car je pensais qu’il fallait une lumière vive pour rendre l’éclat des couleurs, comme celle fournit par notre soleil par exemple. Or sur cette planète, la lumière fournie par le soleil était de très faible intensité, rouge-orangée.

Le plus étrange également est que dans cette vie je suis daltonien, je ne vois que quatre couleurs. Le blanc, le noir, le jaune et le bleu. Toutes les autres couleurs je les perçois en marron ou en gris. Alors par quel miracle lorsque je ne suis pas dans mon corps, je peux voir tout le spectre de couleurs, et plus curieux encore, je peux les nommer.

Les énergies et les vibrations qui m’entouraient commençaient à me parvenir. Je m’habituais à cet endroit. C’est à ce moment que j’ai remarqué que toutes les pyramides autour de moi émettaient des énergies. Elles étaient placées judicieusement de façon stratégique. Les énergies qu’elles émettaient servaient à nourrir la population et à harmoniser tout ce qui était environnant. Il est très difficile de rendre compte par des mots tout ce que je percevais de façon vibratoire, et qui est étranger à la compréhension des habitants de la Terre. Je sais que toutes les énergies sur Terre m’aident à vivre, à être qui je suis dans la matière, dans la densité de ce corps physique. Notre être filtre ces énergies pour prendre celles qui nous conviennent tout en laissant les autres à la nature. Nous le faisons pour la plupart d’entre nous d’une façon inconsciente, mais pour de plus en plus de personnes cela devient conscient.

leur évolution maîtrisée…

Vous m’appellerez Aïssalt, mon nom je le porte pour vous sur terre, sur ce monde de matière. Vous avez besoin d’instaurer un qualificatif dans la matière de chair pour vous identifier. Nous, nous avons dépassé ce cap depuis bien longtemps. Nous nous reconnaissons par nos énergies. Chaque vie sur toute planète à sa propre signature énergétique et vibratoire. Que ce soit les plantes, les minéraux, les animaux ou toute autre forme de vie.

En des temps très anciens, nous étions semblables à vous. Nous avions des façons très disparates de penser et d’agir.

Tout comme vous, nous pouvions être à la fois très doux et parfois très durs et méchants avec nous-même et notre entourage. Cela nous a pris environ 410.000 ans, pour comprendre notre fonctionnement.

Au contraire de vous, nous n’avons pas subi de modification génétique. Ce qui est un avantage pour vous et votre évolution, mais j’y reviendrai plus tard. Nous avons dû apprendre durant ces dizaines de vos milliers d’années à différencier l’être primitif que nous étions (ce que vous êtes encore aujourd’hui) à l’être spirituel que nous sommes devenus.

Comme je l’ai dit en me présentant à vous, nous avons appris tout au long de ces millénaires, que le but d’une vie n’est pas d’avoir, mais… d’être. Vous dites souvent : « j’aimerais vivre dans un monde meilleur », mais qu’est-ce qu’un monde meilleur si ce n’est le monde que vous créez vous-même ? Vous êtes décideur de l’équilibre de votre monde. En attendant pas que cette aide pour un monde meilleur vienne de l’extérieur, mais vienne de vous, de l’énergie et des vibrations que vous dégagez. Vous aimeriez avoir ce que vous n’avez plus ou ce que vous n’avez pas encore, au lieu d’aimer ce que vous avez.

Nous avons trouvé la solution pour pallier aux vibrations non évolutives ou involutives si vous préférez. Nos chercheurs ont mis au point une puce implantée entre le tronc cérébral et le cervelet. Celle-ci avait pour fonction de maitriser nos émotions et nos pensées. Lorsque nos émotions et/ou nos pensées étaient ce que vous appelleriez des vibrations « négatives », cette puce avait pour fonction de les stopper avant qu’elles n’atteignent nos pensées et ne se manifestent dans nos actes ; cet implant agissait comme une altération volontaire de nos codes naturels.

Nous avons gardé ces puces actives pendant plusieurs générations. Elles nous étaient implantées peu après notre naissance. Après plusieurs centaines de vos années, notre code mémoire avait annihilé ces vibrations dites « négatives » ; l’implantation de cette puce n’était donc plus nécessaire. Les générations qui ont suivi n’ont plus eu besoin de cet implant.

Notre population, tout comme la vôtre était en augmentation constante. La nourriture commençait à faire défaut et la pollution était de plus en plus importante.

Nous avions quelques avantages par rapport à ce que vous expérimentez sur votre planète. Sur notre planète nous n’étions séparés ni par les frontières ni par les religions, ni par la richesse ni par la pauvreté ; rien de cela n’existait. Tout en étant individuellement uniques nous formons une unité. Nous sommes arrivés à un équilibre planétaire entre tous et tout.

Comme notre population devenait trop nombreuse, nos ancêtres ont décidé de recourir au système de l’implant, mais en attribuant à la puce une fonction différente. Nos anciens savaient que chaque vie portait une signature énergétique unique, nos chercheurs ont repris le système de la puce en y intégrant notre signature énergétique. Toutes les puces étaient connectées avec ce que vous appelleriez une centrale.

Lorsqu’une personne meurt, sa signature énergétique se désactive. La « centrale » perçoit un signal et déclenche une naissance. Car il faut savoir que nos eyschi (femme) ne portent plus d’enfants. La conception, le choix du sexe et le développement de l’embryon résultent d’une manipulation artificielle ;   les futurs enfants sont placés dans des couveuses - sorte de matrices remplaçant l’utérus humain – jusqu’à maturité. Ils sont ensuite placés chez des couples. Ainsi l’équilibre de la population est maintenu constant ; une mort pour une naissance.

 

Je remercie Danièle Peralez pour son aide à la mise en forme de ce texte.